Wuppertal – 24 heures contre l’oubli

Veillée permanente et lecture de la #Seebrücke Wuppertal

Samedi 19.06. à partir de 12:00 jusqu’au dimanche 20.06. 12:00, Utopia ville, Wuppertal-Elberfeld

Pendant 24 heures, des noms de personnes décédées en fuyant vers l’Europe sont lus. Pendant la journée, des textes de réfugiés et des témoignages de sauvetage en mer et de travail des réfugiés aux frontières extérieures de l’UE seront également entendus pendant la journée.

Dehors, il y a un stand d’information de la jetée pendant la journée et la possibilité d’installer des bougies pour les défunts.
La lecture est diffusée sur Internet et diffusée sur place.

La veillée permanente est lancée par un entretien avec le Dr. Achim Stein, qui, en tant que médecin de Wuppertal, raconte son engagement dans le sauvetage en mer.
Les autres: à l’intérieur viennent du Tanztheater Wuppertal, talTonTheater, de l’Association pour la promotion du jumelage de villes de Wuppertal – Matagalpa / Nicaragua, du conseil aux réfugiés, de l’École d’études else Lasker, du Bureau d’Information nicaragua, du Parti et des groupes du Conseil de la Gauche et des Verts B90/Verts, de Tacheles et Mampferando, d’Amnesty International.
Il s’agit de contributions propres avec l’auteur Christiane Gibiec pour l’Association des écrivains allemands et l’Association des auteurs dans la vallée, le musicien et compositeur Uli Klan, président de la Société internationale Armin T. Wegner, Olaf Reitz, la langue, le théâtre, la mise en scène, l’intervention et les membres engagés de Wuppertal.

L’action marque le début d’une campagne sur « Port sûr de Wuppertal ». Nous voulons attirer l’attention des médias sur la politique de cloisonnement de l’UE et entamer un débat sur ce que signifie être « refuge ».
Notre projet d’installer sur le parvis de la gare de Mirke un lieu de commémoration permanent pour ceux qui sont morts en fuyant vers l’Europe sert également cet objectif. Le 20e.Juin est journée mondiale des réfugiés et un week-end d’action de la jetée, où des actions sont prévues au niveau fédéral.

Les droits de l’hommesont #unverhandelbar.
Les victimes de la politique de l’UE en matière de réfugiés sont #unvergessen

Webinar: expulsion de l’hébergement

Travail social Contraintes institutionnelles & ambition politique

Il est toujours expulsé. Malgré la pandémie de Corona, des expulsions collectives sont annoncées pour juin 2021, notamment vers l’Afghanistan, l’Albanie, la Macédoine du Nord, le Pakistan, la Serbie et la Tunisie. En dépit de la situation politique, économique et sanitaire dans les pays d’origine, la République fédérale continue donc à forcer les gens à retourner à la persécution, à la pauvreté et à la discrimination.
Quand les gens menacent cette triste réalité, les travailleurs sociaux et les bénévoles, en particulier, semblent avoir les mains liées. Ils sont en désaccord répété entre leur propre éthique (professionnelle) et les contraintes de l’État dans l’accompagnement des réfugiés: d’une part, ils veulent aider les personnes et les aider à avoir une perspective autonome et, d’autre part, ils doivent suivre les règles juridiques et réglementaires. Les employeurs les poussent en partie à agir contre leurs propres convictions et à coopérer, par exemple, dans l’exécution des expulsions, etc. Comment les employés peuvent-ils se comporter dans ce champ de tension ? Que faut-il faire si,.B par exemple, la décision de refus ou l’invitation à quitter le pays ont été reçues? Que peuvent faire les professionnels lors d’une expulsion du logement pour protéger les droits des résidents ? Que peut faire la police? Qu’est-ce qu’elle ne peut pas faire ?
Sebastian Muy, chercheur en sciences sociales et travailleur social critique, conseille les réfugiés à Berlin et apportera une contribution technique à ces questions. Pendant la manifestation, il y a la possibilité de poser des questions et de discuter ensemble.
La manifestation s’adresse en particulier aux personnes qui accompagnent des personnes réfugiées sur le plan professionnel ou bénévole.

Quand: mardi, 22.06.2021, 18.00 – 19.30
L’événement se déroule par zoom. Inscriptions jusqu’au 21.06.2021 par e-mail sous rechtaufasyl@gmx.de [nicht über facebook] . Le lien d’accès est envoyé par e-mail juste avant l’événement.

Une manifestation de l’AG Rester
en coopération avec DBSH (Deutscher Berufsverband für Soziale Arbeit e.V.)

Les organisateurs se réservent le droit de faire apparaître des personnes appartenant à des partis ou organisations d’extrême droite, d’extrême droite ou d’avoir déjà fait apparaître ou d’exclure l’accès à l’événement Zoom par des propos racistes, nationalistes, antisémites, antisémites, anti-lsbtiq*, classistes, racolistes, raciaux, antisémites, antisémites, anti-lsbtiq*, classistes, racolateurs, ableistes ou autres.

PM #2 sur la « semaine d’action sans camp »

« Il faut briser l’isolement forcé dans les camps »

Communiqué de presse #2
18 juin 2021

Demain, samedi 19 juin, les journées d’action no-camp commenceront dans plusieurs villes du
NRW: Autour de la Journée mondiale des réfugiés (20 juin),
il y aura jusqu’au 27 juin de nombreuses manifestations, actions, expositions et
tables rondes autour de l’accueil des réfugiés en général et
en particulièrement en Rhénanie-du-Nord-Westphalie.La mise en réseau antira de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie exige un
accueil décent des réfugiés, un logement décentralisé
et la fermeture de tous les grands camps de rassemblement.Le vendredi 25 juin, il y aura
une manifestation à l’échelle du NRW à Düsseldorf.
»Ces derniers mois, l’attention du public s’est
portée, pour de bonnes raisons, sur les conditions inhumaines dans des camps tels que
la Moria aux frontières extérieures de l’UE.Mais l’isolement et le confinement
ont lieu ici aussi en Rhénanie-du-Nord-Westphalie.Il y a un calcul politique derrière tout cela:
il est plus facile d’expulser des gens qui n’ont pas encore de
collègues de travail, de voisins, de camarades de classe et d’amis ici.
Nous voulons briser cet isolement politiquement forcé « , a déclaré Franka
Schmidt de la mise en réseau antiraciste de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie.

Les événements suivants auront lieu dans les prochains jours:

Sa. 19.6.- Aachen, à partir de 15 heures, Sur le marché
Rassemblement
Pour l’évacuation et la fermeture de tous les camps de réfugiés; pour
des voies d’évacuation sûres et légales
_ _
Sa.19.6. à So.20.06.- Wuppertal, de 12h à 12h, Utopia
Ville/Mirker gare
lecture et rassemblement
24 heures contre l’oubli
_ _
So.20.6.- Münster, à partir de 14 heures, Münster confesse la veillée de prairie
couleur en mémoire de toutes les victimes du système de migration raciste à
l’occasion de la Journée mondiale des réfugiés
_ _
Mo21.6.- Victoires, info stand de centre-ville

_ _
Mo21.6. à 27.6.- Düsseldorf, Kiefernstr.4 (K4)
Exposition « Vivre dans le CDE » (ouverture 21.6. à 18h)
Installation d’une chambre à plusieurs lits en CDE
(Centre d’Hébergement Central)
_ _
Di.22.6.- En ligne (ZOOM), de 18h à 19h30
Webinar
Expulsion du logement – Travail social entre la contrainte
institutionnelle et la prétention politique »
Inscription à: rechtaufasyl@gmx.de
_
_ Mi.23.6.- Münster, à partir de 12 heures – Münster professe l’installation de tente de couleur-prairie
avec l’info-promenade aux camps aux frontières extérieures
et aux installations d’hébergement en Rhénanie-du-Nord-Westphalie et à Münster.
Rassemblements entre 15h et 18h
_
Fr.25.6.- Düsseldorf, début 17:00 – DGB Haus (près de Hbf)
Manifestation centrale de la semaine d’action NoLager avec des interventions de
militants & réfugiés et des
« monologues de la Méditerranée »
_ _
So.27.06.- Cologne, 13 heures à 17 heures, début au Heumarkt
Inforundgang et -Parcours
_ _
So.27.06.- Münster, début 14h, Aaseekugeln
Vélodemo suivie d’un rassemblement devant la cathédrale CDE

Vous trouverez des vues et des informations sur tous les événements et activités
sur notre site: https://no-lager.eu/

Demandes de contact et d’interview :
Mail : info@no-lager.eu

PM #1 sur la « semaine d’action sans camp »

Fermez les camps, décentralisation.

Communiqué de presse #1
13 juin 2021

Dans de nombreuses villes de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, comme à Aix-la-Chapelle, Bonn, Düsseldorf, Cologne, Münster, Siegen et Wuppertal, il y aura du 19 au 27 juin 2021 de nombreuses actions de protestation contre l’hébergement des personnes élevées dans des camps. La « No Lager-Aktionswoche » appelle à la mise en réseau antiraciste de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie, qui rassemble des acteurs antiracistes de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie. La semaine d’action est dirigée contre l’isolement et l’inégalité systématique de traitement et de privation de droits des réfugiés par les camps aux frontières extérieures de l’UE et en Rhénanie-du-Nord-Westphalie.
Outre les manifestations décentralisées, les actions artistiques, les conférences, etc. il y aura le vendredi 25 juin 2021 une manifestation centrale à l’échelle du NRW sous le titre « Close the camps – break isolation! » à Düsseldorf pour attirer l’attention sur la situation dans les logements collectifs.

L’appel de la semaine d’action indique que « des durcissements massifs de la loi permettent aux personnes de se voir systématiquement privées de leurs droits fondamentaux, notamment à la vie privée, à la formation, aux soins médicaux réguliers ou aux possibilités d’emploi.
De nombreuses personnes sont exposées jusqu’à 2 ans au cycle de l’étroitesse, aux contrôles permanents, à la monotonie, à la peur de l’expulsion et à la violence. Dans les camps isolés, les contacts avec le reste de la population sont en fait impossibles et les réseaux politiques et sociaux avec d’autres réfugiés sont plus difficiles.
Leur isolement est politiquement voulu. Elle doit permettre le bon déroulement des expulsions qui ont lieu principalement dans les logements du Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, tout en empêchant le débat public sur les camps isolés de la société.
Il faut briser cette évidence de la privation des droits et de l’isolement des réfugiés. Il faut enfin que la société se débat sur l’accueil et le logement décent décentralisé des réfugiés. »
La mise en réseau antiraciste de la Rhénanie-du-Nord-Westphalie souhaite, avec la « Semaine d’action no lager », traiter publiquement la privation des réfugiés, mettre en réseau des acteurs antiracistes et envoyer un signal de solidarité aux personnes dans les camps.

Des informations sur la « semaine d’action no lager » du 19 au 27 juin 2021 et les activités prévues sont disponibles en ligne à l’adresse suivante
: https://no-lager.eu/ Twitter : @AntiraNRW

Demandes de contact et d’interview :
Mail : info@no-lager.eu

Düsseldorf – 24/7 Exposition « Vivre dans le CDE… »

Installation d’une chambre à plusieurs lits à partir d’un centre d’hébergement central

21.6. à 27.6.- Düsseldorf, Kiefernstr. 4 (K4)
Ouverture 21.6. à 18h

Six personnes étrangères dans une pièce. Pas pour quelques jours à l’auberge à Berlin ou Lisbonne, mais pour plusieurs mois, voire plusieurs années. C’est ainsi que vivent les demandeurs d’asile en Rhénanie-du-Nord-Westphalie depuis que le gouvernement du Land a mis en place le plan par étapes en matière d’asile en 2018. Nous montrons à quoi cela peut ressembler dans une exposition impressionnante au Kulturbureau K4.

Semaine d’action “No-Lager”

Appel à la semaine d’action sans camp du 19 au 27 juin 2021

Depuis la pandémie de Corona, la situation s’est aggravée dans les camps situés aux frontières extérieures de l’UE et en RFA.

Alors que partout dans la société, on a promu la réduction des contacts et le social distancing, dans les camps, les gens ont dû vivre ensemble dans un espace restreint et partager des salles de couchage, de nourriture et de lavage. Les infections qui en ont été provoquées parmi les habitants ont également été détectées en Rhénanie du Nord-Westphalie par des quarantaines en chaîne. Au lieu de protéger les résidents par un logement décentralisé, ils ont été exposés au risque de contagion et emprisonnés pendant des semaines par de nouvelles infections.

Il est clair que les réfugiés sont systématiquement dissociés et privés de droits, qui se verront refuser le droit à la santé et à la vie en période de pandémie dangereuse.
Il ne s’agit pas simplement d’une surcharge dans la crise de La Corona, mais d’un problème structurel dans le « système de stockage » depuis des années. Des durcissements législatifs massifs permettent de priver systématiquement les personnes dans les camps de leurs droits fondamentaux, notamment en matière de vie privée, de scolarisation, de soins médicaux réguliers ou de possibilités d’emploi.

De nombreuses personnes sont exposées jusqu’à 2 ans au cycle de l’étroitesse, aux contrôles permanents, à la monotonie, à la peur de l’expulsion et à la violence. Dans les camps isolés, les contacts avec le reste de la population sont en fait impossibles et les réseaux politiques et sociaux avec d’autres réfugiés sont plus difficiles. 

Leur isolement est politiquement voulu. Il doit permettre le bon déroulement des expulsions qui ont lieu principalement dans les logements du Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie, tout en empêchant le débat public sur les camps isolés de la société.

Il faut briser cette évidence de la privation des droits et de l’isolement des réfugiés. Il faut enfin que la société se débatte sur la question de l’accueil et de l’hébergement décent décentralisé des réfugiés.

Avec les semaines d’action “No-Lager”, nous voulons porter cela au public, mettre en réseau les acteurs antiracistes et envoyer un signal de solidarité aux habitants des camps.

Participez aux actions!
Droit de séjour pour tous!

Close the camps – break isolation !

Entrepôts de stockage collectif en Rhénanie du Nord-Westphalie et le virus Corona

L’étroitesse, l’isolement et les mauvaises infrastructures rendent malade. Pas seulement, mais surtout en période de pandémie.

Les personnes qui déposent une demande d’asile en Allemagne ne sont pas passibles d’une détention provisoire de moins de six mois. En Rhénanie-du-Nord-Westphalie, cela peut parfois atteindre deux ans. C’est ce que prévoit le plan par étapes du gouvernement du Land. Le gouvernement du Land ne s’écarte pas de ce régime, qui vise à alléger la charge pesant sur les communes et à faciliter les expulsions, mais surtout à les dissuader, même pendant la pandémie de Corona.

Alors que partout ailleurs, les gens doivent éviter les rassemblements de personnes, les personnes qui se rassemblent à six doivent se partager une chambre à coucher et des centaines d’autres douches et salles à vivre. Comme on pouvait s’y attendre, beaucoup ont été infectés dans ces conditions. Au point culminant de la deuxième vague, la moitié des logements nationaux étaient en quarantaine, rien qu’en Rhénanie-du-Nord-Westphalie.

Au début de la pandémie, la situation a été aggravée par la mauvaise communication et le manque d’infrastructures. Il n’y avait presque nulle part de masques de protection, presque partout trop peu de désinfectants. Certes, le gouvernement du Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie a essayé de placer plus en sécurité les personnes particulièrement vulnérables dans les auberges de jeunesse en raison de l’âge ou des antécédents médicaux et a ainsi découpé l’occupation globale. D’autre part, les transferts vers les municipalités ont été suspendus jusqu’en juin 2020, ce qui a fait que les institutions ordinaires étaient plus pleines que vides.
Un réfugié iranien a indiqué que les heures de repas dans son camp étaient étendues pour que tout le monde ne soit pas assis à la cantine en même temps – mais en même temps, il n’y avait de connexion Wi-Fi stable dans l’établissement que dans une seule pièce, de sorte que tous les résidents s’y câlinaient lorsqu’ils voulaient s’informer sur COVID-19 ou savoir comment allait leur famille et leurs amis. 

Onur Şahin, qui a lui-même contracté Corona au cours de la deuxième vague, fait part de la question de savoir si la situation dans son refuge à Kassel a changé au cours de la deuxième vague :

« La microgestion n’a pas changé. Ils ont juste des notes accrochées aux murs: garder leurs distances, couvrir le masque, le nez et la bouche. Et lavez les mains. C’était la seule mesure. Ils n’avaient pas de plans structurés pour les différents camps. Quand il y a eu une affaire Corona en octobre, ils ne nous en ont rien dit. »

Et Mariama Jatta se souvient:

« Quand Corona a commencé, ils ont annoncé en ville: « Bon, il y a cette nouvelle réglementation en Allemagne, que seules quelques personnes peuvent se réunir. S’il y en a plus, il faut venir du même foyer. » Je me suis dit: « Ok, cette loi a été faite, et ils nous ont complètement oubliés. » Vous n’avez pas du tout pensé que c’était un ménage de 700 personnes. Car c’est un budget. On partage la cuisine, on partage la salle de bain, on est en contact, les enfants jouent ensemble. Et aucune précaution n’a été prise. Nous n’avions pas de désinfectants, pas d’informations. On n’a pas été informés correctement des règles de Corona et de tout le reste. Il n’y avait pas de communication. »

Des citations de: Vie en danger. La vie quotidienne et la protestation dans les refuges pendant la pandémie de Corona

Même lors de la campagne de vaccination, les résidents réfugiés des camps de rassemblement en Rhénanie-du-Nord-Westphalie risquent de tomber hors de vue: Bien qu’ils soient répertoriés dans le groupe de priorité 2 du règlement sur la vaccination, le gouvernement du Land de Rhénanie-du-Nord-Westphalie n’avait pas encore réussi à voter jusqu’en Avril 2021, un concept pour l’information et la vaccination des habitants. 

Ce n’est que sous la pression de l’opinion publique que les ministères compétents ont commencé à bouger les choses. Mais même à la fin du mois de mai, la plupart des résidents des logements nationaux ont reçu une offre de vaccination, et encore moins une protection vaccinale complète. 

L’isolement des habitants s’est encore accentué avec la pandémie de Corona: la visite de bénévoles ou d’amis dans l’établissement est interdite et, en cas de quarantaine, les personnes concernées ne peuvent plus quitter le site. La situation est déjà marquée par un isolement massif à des heures « normales » : scolarisation pour les enfants, éducation, apprentissage de la langue, amitié, travail, début d’une thérapie, arrivée et repos…. Tout ce qui, après une fuite souvent traumatisante, est absolument nécessaire et important ne va pratiquement pas depuis le camp. 

Dans le même temps, des expulsions sont régulièrement effectuées hors des camps, qui n’ont jamais été interrompus pendant la pandémie. Pour toutes les autres habitantes, et surtout pour les enfants, la participation à des descentes et à des expulsions matinales est un énorme stress. Beaucoup souffrent d’insomnie et développent des problèmes de santé mentale. 

Nous pensons donc que l’obligation de stockage pour les réfugiés doit être supprimée. Les logements collectifs pour les réfugiés ne peuvent être qu’un logement pendant les premières semaines pour ceux qui n’ont pas d’autre logement. Mais le but des camps, au-delà de ce premier logement, est uniquement de simplifier la gestion et le contrôle des personnes, de simplifier les mesures d’éloignement et de décourager. Cela ne doit pas être une raison pour forcer les personnes isolées et dans des conditions de maladie et de danger à les priver de mois et d’années de leur vie, au cours desquelles ils ne peuvent pas se construire un avenir.

Quand les gens sont en fin de compte des gens psychiquement épuisés, personne ne sera aidé. 

Appel à la participation !

Invitation aux résidents du CSE

Nous sommes plusieurs organisations antiracistes qui défendent la fermeture des grands camps et l’hébergement décent des réfugiés. 

Je veux que tout le monde ait une place et un avenir ici. Sur ce thème, il sera dans différentes villes (Aix-la-Chapelle, Bochum, Düsseldorf, Cologne, Münster) du 19 au 27/06/2021. 1990.
Par exemple le 25.6.2021 à 17 heures, une manifestation à Düsseldorf.

Si vous avez envie de parler de la vie dans le camp, envoyez vos photos et films (sans visages reconnaissables), vos dessins et vos textes à l’adresse suivante: info@no-lager.eu,ils seront ensuite publiés sur le site web no-lager.eu. Vous y trouverez également toutes les informations sur les différentes actions dans les villes.